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L'île secrète du Pandah Roux

23 janvier 2011

Fantasme...

      Elle se tenait là. Assise sur le lit. Sa jupe remontait légèrement sur ses langoureuses jambes. J’osais un timide coup d’œil sur ses mollets aguicheurs. Instinctivement, j’humidifiai mes lèvres, d’un coup de langue affamé. Doucement je m’imaginai me lever, et m’approcher d’elle. Je caressais doucement ses jambes. En commençant par ses mollets. Puis en caressant ses cuisses brûlantes. Mes lèvres se déplacèrent vers son cou, doux comme le miel. Mes lèvres sentirent son pouls sous sa peau de velours.

      De temps à autre ma langue sortait légèrement entre mes lèvres, pour gouter à son cou délectable. Mes doigts dansaient toujours sur ses douces cuisses. Je sentais mon cœur battre de plus en plus fort. Sa respiration se faisait plus sonore. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque tandis que j’embrassais sa poitrine généreuse.

      Je caressais maintenant l’intérieur des ses jolies cuisses. Du bout de mes doigts, je créais des ondes de frissons en remontant de plus en plus lentement jusqu’à son entrejambe. Le contact entre les doigts et le tissu de sa culotte chaude me fit l’effet d’un électrochoc. Je frottais son sexe à travers le tissu tout en libérant ses plantureux seins de l’emprise du soutien-gorge. De ma main libre, je caressais ses deux nichons et puis je guidai l’un d’eux vers ma bouche. Dans un premier temps je jouai avec ses tétons du bout de ma langue… Puis d’un coup, je les suçai fort et longtemps, tandis que ma main s’agitait dans sa culotte, directement au contact de sa peau chaude et humide.

      Je léchai ses tétons une dernière fois, comme pour leur dire au revoir tandis que je m’agenouillai devant elle. Je la débarrassai de sa culotte. Je la regardai droit dans les yeux tandis que j’introduisis mes doigts dans son intimité. La chaleur de son corps entourant mes doigts m’excitait au plus haut point.

 

      J’avançais mon visage. Et du bout de ma langue se parcourrai sa cuisse, pendant que mes doigts s’agitaient toujours en elle. Ma langue remontait pour atteindre son sexe brûlant de désir. Je léchai agressivement son clitoris en alternant petites stimulations rapides et gros coups de langue affamés. De temps à autre, j’aspirais son clitoris comme un bébé qui tète. Mes trois doigts en elle tournaient et se retournaient encore et encore.

 

      Je n’en pouvais plus ! Je me levai, la poussai violemment sur le lit et lui enfonçai mon pénis brutalement en elle. Je commençais le va-et-vient sans ménagement. A chaque coup de hanche, nos pubis se heurtaient dans un bruit sec. Mes mains dansaient frénétiquement sur son ventre, ses seins, ses hanches. De temps en temps, pendant que je la culbutais aussi fort que je le pouvais, je glissais mes doigts dans bouche. Je serrais ses magnifiques seins dans mes mains. Je serrais de plus en plus fort jusqu’à voir sa mâchoire se crisper dans un mélange de douleur et de plaisir.

      D’un coup je me retirai d’elle, pour me réintroduire en elle brutalement. Je sortais complètement mon pénis, pour le faire disparaitre d’un coup entre ses cuisses. Encore et encore. A chaque fois je l’entendais gémir et je soupirais de plaisir.

 

      Un moment, je me retirai mon pénis de son antre du plaisir, et d’une pression sur l’épaule, je lui imposai un mouvement de rotation. Elle m’exposait ses fesses. Je les lui caressais. Sans prévenir j’écartais ses fesses et passais ma langue. J’enfonçais mes doigts dans son vagin pour les humidifier et j’introduis un doigt entre ses fesses. Puis deux. Enfin, j’y introduis ma verge folle d’excitation. J’avançais mes hanches lentement pour enfoncer mon pénis au maximum. Puis je reculais délicatement. Et j’avançais et je reculais… doucement. Petit à petit, j’accélérais le mouvement. Je m’agrippais à ses hanches pour me donner plus de puissance. Mon cœur battait à un rythme incroyable. Je respirais tellement fort que chaque expiration ressemblait à un soupir de plaisir. A chaque fois que je m’activais entre ses fesses, elle gémissait de plaisir. Pendant que je la sodomisais brutalement, elle jouait avec son clitoris entre ses doigts…

      Je la sentis se contracter au moment même où je saisissais ses douces épaules pour m’enfoncer bien au fond d’elle et jouir en elle. Dans un grognement de plaisir je jouissais comme jamais, tandis qu’elle s’effondrait de plaisir.

 

      Je gisais près d’elle. Et je continuais de caresser son corps, doux et transis de frissons. La sensation agréable de sa peau sous mes doigts était délicieuse. Caressant son ventre, je profitais de toute l’attirance de Marie. Car sous ce revêtement de concupiscence se cachait une beauté douce et fragile. J’adorais tout de son corps.

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22 janvier 2011

Belle comme le jour

      Je jetais un coup d’œil général à cette rue dans laquelle nous nous trouvions. On aurait dit une de ces vieilles ruelles sordides qu’on voit dans les films. L’air était saturé de reliquat d’humidité laissée par les pluies diluviennes des jours précédent. Mais malgré le froid mordant, nous étions dehors, nos cigarettes incandescentes entre les lèvres. Comme la fumée de ma Marlboro dans mes poumons, la vision du sourire de Marie me réchauffa de l’intérieur.

 

      Elle avait ces jolies dents blanches alignées comme des petits soldats, entourées de ses délicieuses lèvres roses. De temps à autre, elle me jetait un coup d’œil sous sa frange. Ses yeux pétillaient d’une énergie débordante, qui ridiculiserait n’importe quelle centrale nucléaire. Ses prunelles me rappelaient toujours les paroles de The sharpest life quand Gérard Way hurle « So birght the sun is ashamed to rise and be ». A chaque fois que son regard croisait le mien, c’était comme si la nuit sombre se trouvait soudainement éclairé par le radieux soleil d’un après-midi d’été.

      Son regard enjoué était aussi chaleureux, par cette froide nuit, qu’une tortilla trempée dans de la salsa au piment devant un bon film ; aussi réconfortant qu’un cookie trempé dans du lait chaud après une journée de merde ; aussi apaisant qu’une nuit de sommeil réparateur après trois jours d’insomnie.

 

      Elle me faisait penser à ces siphons de gaz comprimé, prêts à exploser ; sauf que Marie était pleine d’une joie indestructible qui aurait pu noyer le monde sous des torrents de liesse. Elle avait un de ces rares sourires plus contagieux que la grippe A et enivrant comment un shot d‘héroïne pure en intraveineuse dans la carotide.

Lorsqu’elle souriait, des petites fossettes apparaissaient sur ses joues, lui donnant un air malicieux. Comme quand on fixait trop longtemps une ampoule allumée, son sourire laissait une empreinte momentanément indélébile sur mon esprit, comme une photo en surimpression.

 

      Albert Einstein disait « j’aime penser que la Lune est là, même quand je ne la vois pas ». Son sourire radieux et ses yeux brillants étaient pour moi comme un soleil, toujours là, même la nuit. Même si parfois, des nuages assombrissent mon ciel de joie, j’espère simplement que les éclipses se feront rares. Parce que sa joie de vivre est un phare à l’horizon du paysage sombre et morne de nos vies, et que je ne souhaite pour rien au monde, être perdu dans cet abyssal océan d’obscurité sur lequel la seule lueur de jouissance et d’euphorie est ma Belle Marie…

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L'île secrète du Pandah Roux
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